A la recherche d'un travail [Pv Jinsei Kensaku ]

Anko se reveilla dans cet apartement, miteux et abandonné, celui dans le quel elle avait élu domicile il y a peine deux mois. La jeune femme s'étira et se leva, regarda la pièce dans la quel elle vivait, car oui c'était la seule pièce de l'immeuble habitable. Tout en attachant ses cheveux elle soupira et murmura '' faudrais vraiment que je me trouve un appart". Elle continua a reflechir et prit un air depité et rajouta '' pour ça il me faut du boulot''. Poussant un soupir encore plus long, rempli de désespoir, elle s'étira encore plus et entendit une voix s'élevé derrière elle.
- Oui c'est vrais que ce tu devrais faire quelque chose de ta vie, surtout que tu n'es pas comme tout le monde.
L'interpelée se retourna et posa ses yeux bleu glacé sur l'annimal qui venait de lui parler. C'était un chat gris tigré de noir, plutot gros pour un chat sauvage, aux yeux ambre. La fille continua de fixer le félin avant de dire dans un murmure:
- Avec mon don je pourrai juste jour dans un cirque comme monstre. Enfait... Tu voudrai bien rester avec moi? Etre mon chat a moi!
Le matou approcha de la mutante et se frotta contre ses jambes en ronronnant et en lui repondant:
- Seulement si tu me nouris.
Sa nouvelle maitresse souri et descendit suivi de l'annimal pour un ballade en ville.

Dehors le temps était manifique. Les quelques nuages de pluie d'hier étaient disparus pour laisser place a un ciel bleu, sans nuage avec un soleil reillonnant et chaleureux, le vent se manifesait juste par une fine brise chaude. Anko souri et entendit un ronronnement s'elever elle regarda son nouveau chat qui la regardit amusé, ce n'est que la que cette dernière comprit que ce n'était pas le matou qui ronronait mais elle...Rougissante elle empressa le pas, se demandant si on l'avait entendue... C'est la qu'elle se souvenu de la première fois qu'elle s'était transformée en annimal, c'était en chat. D'ailleurs elle mit bien un jour pour reussir a se debarassé de cette maudite queue de chat. Elle sentit le felin au pelage gris lui griffer la jambe, d'abord en colère elle se mit a lui crier dessu avant de voir qu'ils étaient devant une animalerie...

'' L'endroi rêver'' murmura t'elle, le chat ronrona et se redressa comme fière de lui. La petite femme poussa la porte et vu au contoire une femme pulpeuse au longs cheveux blanc et les yeux rouge, qui avait l'air triste, '' est-ce que moi aussi j'ai l'air triste'' ce demanda t'elle. Au fond elle n'avait pas a etre triste, elle n'avait aucun souvenir triste surement car elle n'avait aucun souvenir tout cour. Ce qu'elle pouvait etre sur c'est qu'a ce moment elle aussi avait l'air triste mais cette humeur ne passa qu'une seconde dans ses yeux avant de dire:
-Bonjour ! Je suis venu vous demandez si vous chercher quelqu'un pour du travail!
Le chat tabby repliqua:
- Attention pas un travail trop dur, madame n'aime pas bougé
La jeune fille s'apretait a repliqué, elle ouvrit la bouche mais la referma aussi tot, si elle repliquait on la prendrait pour une folle. Elle seule comprenait ce que le matou lui disait, les autres n'entendaient que des miaulements

Je venais d’arriver à l’animalerie quand je reçu un appel. Une vieille dame.
« Votre chat à disparu ? Il revient d’habitude le matin… Et à quoi ressemble-t-il ? »
Jinsei avec prit un bic et une feuille et se prépara à écrire.
« Un gros chat tigré gris et noir, d’accord… je vais faire ce que je peut pour le retrouver. Et puis, ne vous en faites pas, les chats reviennent toujours. Bonne journée madame. »
Jinsei raccrocha. Elle commença à nourrir les animaux qui se trouvaient dans l’animalerie. Elle s’abaissa un peu pour soutenir sa tête avec sa main, en posant son coude sur le comptoir. Je repensais à toutes les choses tristes que j’aie vécu. Et puis je repensais à cette vieille dame, inquiète pour son chat. Aller, encore des pensées tristes. Sa n’arrête pas avec moi ! Une jeune femme la sortit de ses pensées.
« -Bonjour ! Je suis venu vous demandez si vous chercher quelqu'un pour du travail! »
Je remarquai un chat quand il se mit à miauler. Mais… C’est le chat de la vieille dame, non ?
En plus elle le maltraitait ! Je l’ai vu ! Elle allait lui crier dessus ! Je ne répondis pas à sa question.
« Ça vous arrive souvent de voler des chats, mademoiselle ? »

Anko attendis que la jeune femme rompe le silence qui les entourait. Un silence qui se fit lourd. Elle vit les yeux rouges de l’inconnue se poser sur le chat tabby, ce dernier assis au pied de sa nouvelle maîtresse. Le chat gris soutenait le regard de la vendeuse juste après cette dernière releva les yeux sur la mutante pour lui dire d’un ton froid, ignorant sa question.
-Ça vous arrive souvent de voler des chats, mademoiselle ?
La jeune femme se figea, ne dit rien. Cela l’étonna que le félin apparient a quelqu’un d’autre. Ses yeux bleus fixèrent ceux du matou tigré avant s’écrier :
-Alors comme ça tu appartiens a quelqu’un d’autre !
Le chat gris regarda sa maîtresse qui paraissait troublé, peu sur d’elle. Lui ne se souvenait d’aucune maison ou il avait habité. Il se souvenait de ce jour d’hiver ou il avait rétorqué quelque chose, qu’elle l’avait compris. Il se souvenait du bonheur qu’on pouvait ressentir lorsqu’on était compris par un humain il sorti de sa rêverie et répondit a sa maîtresse
- Je passe mes journée avec toi, si j’avais eu une maison tu l’aurais su non ?
Sur ses mots la jeune fille arrêta de tripoter ses cheveux, se d’étendit et poussa un soupire de soulagement, l’explication du chat était plus que plausible, elle était tout le temps avec. Elle releva ses yeux bleu glacé pour les posé sur la vendeuse, pris son chat et s’écrier dans un sourire:
-Je ne vole pas de chat, c’est le mien d’ailleurs il s’appelle… Sur le moment la jeune fille ne savait que dire, ce chat n’avait pas de nom alors elle décida d’en inventer un et elle dans son plus beau sourire elle continua : Il s’appelle Chouchou
L’animal émit un grognement et regarda sa maîtresse et lui répliqua.
- Ok pour un nom pas Chouchou ou je t’attaque dans ton sommeil.
- C’est pour me venger de toutes les fois ou tu essayes de me casser, dit-elle dans un murmure.
Elle reposa son chat a terre qui comme pour se faire pardonner se frotta contre les fines jambes de sa maîtresse tout en ronronnant bruyamment. Et Anko regarda c’elle qui l’avait accusé d’un regard froid, qui la défiait de dire qu’elle mentait.

J’attendis la réponse de la jeune fille. Au lieu de ça, elle fixa le chat. Elle finit (enfin) par dire :
-Alors comme ça tu appartiens a quelqu’un d’autre !
En s’adressant au chat. Comme si il allait lui répondre. Cette fille me paraissait plus qu’idiote. Le chat miaula et elle poussa un soupir. Je me rendis à l’évidence : j’avais en face de moi une folle.
-Je ne vole pas de chat, c’est le mien d’ailleurs il s’appelle… Sur le moment la jeune fille ne savait que dire, ce chat n’avait pas de nom alors elle décida d’en inventer un et elle dans son plus beau sourire elle continua : Il s’appelle Chouchou
À cette phrase, l’animal grogna et elle lui murmura quelque chose. Le chat se frotta à ses jambes et elle me regarda d’un air froid. Je n’allais surement pas me laissait faire !
« Bon… vu vos problèmes mentaux je vais être gentille et simplement vous demandez de partir et de laissez le chat ici pour que je puisse le rendre à ça maîtresse à qui il manque sûrement beaucoup. Si vous n’acceptez pas, j’appellerai surement la police. Si le chat vous apprécie, cela ne prouve pas qu’il soit à vous ! »

(HS: je change de personne pour ecire car la troisème personne c trop dure )

A peine avais-je finis ma phrase que je me rendis compte de ma bétise. Le jeune chat tabby me regardait intensément et ne dit rien. Visiblement lui aussi avait compris. Je lui avais parlé devant quelqu'un d'autre et ce dernier avait bienc compris que je lui parlais comme a une personne normale. Le rouge me montis au joue. Je n'osais affronter le regard de la jeune femme. De gène je me mis a tripoter ma mèche de cheveux. Oh non je me sentais pas coupable car je n'avais commis aucun vol, ça au moin j'en étais sûre. Je pris donc mon courage a deux mains, et affronta le regard de la jeune femme. Et je vu qu'elle me regardais bizarement, comme si elle ne savait pas si j'étais soit folle, soit entrain d'essayer de la faire passer pour une idiote.
« Bon… vu vos problèmes mentaux je vais être gentille et simplement vous demandez de partir et de laissez le chat ici pour que je puisse le rendre à ça maîtresse à qui il manque sûrement beaucoup. Si vous n’acceptez pas, j’appellerai surement la police. Si le chat vous apprécie, cela ne prouve pas qu’il soit à vous ! »
Visiblement elle optais pour la première option : pour elle j'étais simplement et purement folle. Certe je n'étais pas une lumière mais de la a me prendre pour une dingue! J'était en colère. J'essayait de me controler. Mais c'était trop tard. J'était maintenant a mi chemin entre un chat et une humaine. Je possèdait maintenant des oreilles une queue noire, qui d'ailleurs était hérisser du a ma colère. Mes dens était aussi plus longue, plus pointue. Mon premier reflexe fu de me coller les mains sur la tête pour cacher mes oreilles et ma queue. J'essayais de refouler mes larmes, je detestais cette transformation. Que ce soit en chein, en chat ou en n'importe quoi d'autre j'avais horreure ce pouvoir. Je voulais qu'il disparaisse. Je sortis de mes pansées et realisa dans quel état j'était: en larme reroviller contre un mur toujours les mains plaquer sur ma tête pour chachée ses affreuses oreilles de chat.

Juste après que j’eus prononcé cette phrase, des oreilles de chats et une queue apparurent sur le corps de la jeune fille. Elle se mit à pleurer et recula. Elle s’accroupit dans un coin du magasin, les mains sur les oreilles, pour les cacher. Je fus surprise de cette transformation et sans raison, me téléporta juste à côté d’elle. Je n’avais que deux pas à faire, mais à la place je me suis téléportée. Je n’ai vraiment aucune logique. Je me suis abaissée, j’ai posé ma main sur son épaule et d’une voix réconfortante je lui dis.
« Ne t’en fais pas, je sais ce qui se trouve derrière le mur… Moi aussi j’ai été changée là-bas. Mais tu n’es pas seule, ne t’en fait pas ! »
Je la pris dans mes bras en lui caressant les cheveux. C’est la première fois que j’ai des marques d’affections de ce genre envers une voleuse de chat. Tout à coups, je reculai. Je venais de m’apercevoir que sa tête se trouvait… dans ma poitrine.
Je repartis me mettre derrière mon comptoir et, comme si de rien n’était, je lui dis :
« Vous veniez donc postulez… »

Je me sentais franchement ridicule dans cette posture, tremblante, sanglotante, collée, en boule sur le mur, mes mains cachent mes oreilles de chat. Je sentis le regard de la jeune inconnue sur moi. Alors je leva les yeux vers elle et lu la surprise dans ses yeux. Alors ce fut peut être une impression mais elle arriva accoter de moi d’un coup. Etait-elle comme moi ? Avait-elle aussi un pouvoir ? Je sursautas lorsque je sentis sa main se poser sur mon épaule, et que je l’entendis murmure d’une vois rassurante et douce :
-Ne t’en fais pas, je sais ce qui se trouve derrière le mur… Moi aussi j’ai été changée là-bas. Mais tu n’es pas seule, ne t’en fait pas !
Derrière le mur ? Mais de quoi parlait elle ? Je n’eus pas le temps de la regarder d’un air interrogateur qu’elle me prit dans ses bras et se mit a me caresser les cheveux, je fermis les yeux et me mit a ronronner sans le vouloir, c’était la première fois depuis des mois que je recevais une marque d’affection de la part de quelqu’un. Cela me réchauffais le cœur, malgré le fait que pour moi elle n’était rien d’autre qu’une inconnue. J’oubliai aussi ses accusations infondées de voleuse de chat. Je la senti se reculer et ouvrit les yeux… J’avais ma tête dans sa poitrine ! Je devin aussi rouge qu’une tomate quand t’a elle, elle retourna derrière son comptoir comme si rien ne s’était passer et me dit d’une voix neutre
- Vous veniez donc postulez…
Je ne sus que dire, oui je le voulais… Mais ce que je voulais encore plus c’était parler de ce mur, de ce qu’il y avait derrière, mais si elle avait changé de sujet ce n’était sûrement pas pour que je le relance, mais ma curiosité fut plus forte :
- Je ne sais pas ce qu’il y a derrière le mur… Du moins je ne le sais plus. A vrais dire je me suis réveillé dans un appartement abandonné et a moitié en ruine avec peu de souvenir de ma vie.